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Voir quelqu’un qui repose un livre à l’envers sur sa pile.
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Voir qu’il y a le tome 3, le tome 5 mais pas le tome 4, alors que c’est celui qu’il nous faut.
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Les grandes sagas qui n’expliquent pas clairement sur leur quatrième de couverture l’ordre de lecture.
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Voir qu’un livre a sa tranche cassée. Outrage !
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Les marque-pages trop grands pour les livres de poches.
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Ne trouver que le grand format alors qu’on sait que le poche existe.
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Découvrir une édition de Noël ou un pack sublime alors qu’on vient d’acheter une édition toute simple du même livre une semaine avant : « Si j’avais su…. »
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Les couvertures moches à base d’image tirée du film tiré du livre.
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Les romans sans résumés.
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Les rares librairies qui s’imaginent que le young-adult, c’est de la gnognotte et qu’il n’a pas le droit à un rayon en soi : « On va mettre ça en jeunesse, c’est pareil. »
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Trouver seulement l’édition du Routard qui date de l’année précédente.
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Chercher pendant des heures un auteur dans le rayon « Amérique » alors qu’en fait il est au rayon « Royaume-Unis ».
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Quand le libraire t’annonce que « l’éditeur ne le fait plus ».
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Quand tu découvres le prix de certains grands formats.
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Quand tu te trompes d’édition et que ta saga est dépareillée.
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Quand tu veux demander un truc au libraire mais que devant toi tu as la personne qui veut « le livre orange qui est passé au JT ».
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Quand t’as oublié de prendre l’enveloppe de la carte d’anniversaire achetée au rayon papeterie de ta librairie préférée.
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Quand le micro ne fonctionne pas à la rencontre avec un auteur et que tu n’entends plus rien.
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Quand tu vois un client manger un truc gras et feuilleter les livres après.
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Quand c’est la rentrée ou la veille des partiels et que c’est blindé d’étudiants et de lycéens qui ne se poussent pas quand tu veux passer.
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Quand tu as un chèque lire de 20 euros mais que ton roman en coûte que 17.
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Quand tu flânes juste pour le plaisir et que tu ressens cette horrible sensation de vide car rien ne te donne vraiment envie.
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Quand le libraire te conseille un livre mais que tu n’oses pas lui dire que tu le connais déjà et que tu n’as pas vraiment aimé.
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Quand le libraire s’occupe d’un rayon, qu’il est pile devant ton livre mais que tu n’oses pas le déranger.
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Quand il fait trop chaud dans la librairie mais que tu ne veux pas enlever ton manteau et le prendre à la main de peur de renverser toutes les piles sur les tables.
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Quand tu as plein de choses à voir mais que la librairie ferme dans dix minutes.
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Quand tu viens pour acheter juste un petit poche à 6€ mais que tu as repéré la version collector ou illustrée à 40€.
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Quand tu te dis qu’il faudrait que des wishlists existent dans les librairies, comme les listes de mariage ou de naissance pour les cadeaux.
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Quand le seul exemplaire neuf du livre que tu veux est un peu sale ou corné.
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Quand le rayonnage que tu cherches est tout en bas et que tu te casses le dos pour chercher ton livre.
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Quand les ouvrages mis en avant te désespèrent…
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Quand tu as oublié ta carte fidélité et que donc tu n’auras pas droit à tes moins 5 %
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Quand, trop absorbé(e) par les rayonnages débordants, tu rates la petite marche.
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Quand tu ne sais pas quoi faire de ton parapluie trempé, tu ne veux surtout pas abîmer ces livres.
Archives du mot-clef achat
Le point du lundi #9
Après une grande pause dans les points du lundi pour cause de NaNoWriMo, on reprend cette semaine sur un rythme plus soutenu !
Concernant le In My Mailbox, c’est plutôt une bonne pêche. J’ai reçu Capitaine Françoise, l’histoire d’une libraire bretonne, gentiment dédicacé et envoyé par l’auteur, Stéphane Rubin (merci !). Côté achat, j’ai craqué sur les Mémoires d’une jeune fille rangée de Simone de Beauvoir, une auteure que je veux lire depuis des lustres.
Encore une fois, j’ai explosé mon quotat d’emprunts à la médiathèque, heureusement je n’ai pas pris que des livres. Dans ma besace :
- Les Combustibles d’Amélie Nothomb. Je me suis enfin décidée à lire quelque chose d’elle, pour l’occasion, on m’a conseillé ce livre.
- Le Lys dans la vallée de Balzac dont la mission sera de me réconcilier avec cet écrivain que j’ai du mal à apprécier après mon fiasco personnel de La Peau de chagrin.
- Deux livres en VO italien pour continuer à pratiquer cette langue que j’aime tant : Maria de Lalla Romano, et Acqua in bocca de deux auteurs que j’étais impatiente de lire : Camilleri et Lucarelli.
- Comment devenir un brillant écrivain d’Aloysius Chabossot qui m’intrigue assez car en le feuilletant, je le trouvais pas si mal que ça. On verra bien.
Passons maintenant au « C’est lundi, que lisez-vous ? »
La semaine dernière, j’ai lu le très décevant Au pays des mangas avec mon fils de Peter Carey, Trembler te va si bien de Risa Wataya et pour finir ces quelques jours japonisants, j’ai dégusté quelques shôjô bien à l’eau de rose.
En ce moment, je lis Apollinaria, une passion russe de Capucine Motte.
Puis je lirais vraisemblablement Tangente vers l’est de Maylis de Kerangal.
C’est fini pour aujourd’hui, on se retrouve mercredi, je vous parlerai de mon expérience NaNoWriMo.
Le point du lundi #6
Et on se retrouve encore une fois pour le rendez-vous du lundi. En avant pour In My Mailbox !
La semaine dernière, je n’ai rien emprunté, mais j’ai craqué sur deux livres :
- un classique que je veux depuis longtemps : Les raisins de la colère de Steinbeck
- Les femmes du braconnier de Claude Pujade-Reunaud pour préparer sa visite à notre master.
Et du côté de « C’est lundi, que lisez-vous ?« , voyons voir ce que ça donne.
La semaine dernière, j’ai lu Journal d’Hélène Berr, Les Embuscades et Regardez la neige qui tombe de Roger Grenier.
En ce moment, je lis La femme de l’Allemand de Marie Sizun.
Et après, je vais lire Journal d’Amérique de Bertolt Brecht, et sûrement un Bukowski pour le mois américain.
Et vous, vous en êtes où dans vos lectures ?
Le point du lundi #2
Aujourd’hui, c’est le point du lundi #2 qui, je le rappelle, regroupe le traditionnel In My Mailbox posté généralement le dimanche et le « C’est lundi, que lisez-vous? »
En avant pour IMM !
Le résultat des courses est plus calme que la semaine dernière. Je n’ai craqué que sur World War Z de Max Brooks (en édition collector!), car comme pour Gatsby, je préfère lire le livre avant de voir le film qui promet d’être très bon ! Sinon, j’ai décidé de me remettre cette année à l’anglais, une langue dont je n’ai que le niveau du survivant et pour cela je m’aide de deux petits ouvrages de Librio à 2€ sur la grammaire et le vocabulaire anglais.
Côté emprunt à la médiathèque, normalement je ne devrais rien avoir puisque j’avais décidé la semaine dernière de ne pas me réabonner tant que ma PAL n’avait pas significativement baissé. Oui, mais. Mais il se trouve que depuis j’ai commencé à y travailler à cette médiathèque, mon premier weekend de boulot étant le 7 et le 8 septembre, et automatiquement, mon abonnement a été renouvelé, un petit cadeau de l’administration. Et j’avais une réservation qui est finalement arrivée entre temps. Il aurait été bête de ne pas saisir l’occasion… Il s’agit de L’été slovène de Clément Bénech, un très jeune auteur que j’admire pour son succès à son si jeune âge mais que je n’ai pas encore eu l’occasion de lire donc.
Bon, et j’ai rajouté également deux lectures étudiantes, empruntées à la bibliothèque universitaire : Le violon de Rotschild (oui, écrit sans « h » dans mon édition) d’Anton Tchékov et un recueil de nouvelles du même auteur dont j’ai complètement oubliée la référence (et vu que je ne l’ai pas à portée de mains là tout de suite….)
C’est tout !
Voyons voir mes lectures…
La semaine passée, j’ai lu… Ben que La Rivière Contrariée de Géry de Pierpont, qui m’a donné du fil à retordre.
En ce moment, je lis… Le violon de Rotschild d’Anton Tchékov, hâte de découvrir cet auteur !
Puis, je lirais… La couleur des sentiments de Kathryn Stockett.
Et voilà, on se retrouve la semaine prochaine pour un nouveau point ! Bonne semaine de lecture à tous !